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Avant de lire les notes que je fais sur les films que je vois et les bd que je lis, sachez que dans mes commentaires il m'arrive parfois de dévoiler les histoires et les intrigues. Ceci dit pour les comics, je n'en parle que quelques mois après leur publication, ce qui laisse le temps de les lire avant de lire mes chroniques.
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10 février 2012 5 10 /02 /février /2012 08:26

Parmi mes rares résolutions pour 2012, je me suis fixé comme objectif de parler un peu plus souvent de musique sur ce blog.
Puis je me suis demandé par quoi je pourrais bien commencer pour m’attaquer à cette ambitieuse idée. D’abord j’ai été tenté de me lancer en vous parlant de ceux qui sont dans mon panthéon d’artistes, ceux qui font partie intégrante de mon être tant je les adule. Ou alors des concerts récents que j’ai pu voir, parce qu’il n’y a quand même rien qui surpasse le live. Mais finalement je me suis dit que ce serait assez logique de parler des albums qui tournent en boucle en ce moment sur mon pc ou dans ma voiture. C’est ainsi que je m’en vais vous dire tout le bien que je pense de Like A Man, le tout nouvel album de Adam Cohen.

Moi qui considère son père, Leonard Cohen, comme l’artiste ultime, l’icône à jamais insurpassable, un dieu vivant de la musique et de la poésie, j’ignorais jusqu’il y a peu de temps que son fils, Adam Cohen, chantait lui aussi.

317 like a man adam cohen1
J’ai découvert, non sans une petite crainte (celle d’être déçu en comparaison de tout ce qu’a pu me faire ressentir son illustre père), son tout dernier album à l’occasion des fêtes de fin d’années. Et après une petite journée d’écoute, j’étais définitivement conquis par le bonhomme.

D’un style un peu plus moderne que son père, Adam ne peut pour autant en aucune manière renier son héritage musical ! Belles mélodies, importance du texte, utilisation des chœurs féminins, il y a même certains titres sur lesquels sa voix rappelle à s’en méprendre celle de son père 40 ans plus tôt. Cela m’a tout particulièrement frappé sur What Other Guy par exemple. What Other Guy qui est au passage très certainement le plus beau morceau de l’album, avec à ses talons la chanson Like A Man qui a donné son titre à l’album. D’ailleurs j’ai depuis cette découverte, lu l’une ou l’autre interview de Adam Cohen, et cela ne m’a pas du tout surpris d’y apprendre que ces deux titres justement avaient été qualifiés de « classiques instantanés » par le sage Leonard. Je vous assure qu’il ne s’agit pas là d’un jugement exagéré et partial dicté par la fierté paternelle, ces deux titres sont réellement deux petits bijoux. Beaux, sobres, qui accrochent l’oreille et l’esprit, bref parfaits.
Tout l’album du reste est très agréable à écouter. Au même titre que les deux chansons déjà citées, Overrated, Stranger et Beautiful sont elles aussi de celles qui vous chopent, et si on les laisse faire, vous trottent toute la journée dans la tête…

 


 


Pour autant qu’on ne peut nier la parenté entre la musique de Adam et de Leonard, le fiston s’en démarque toutefois sur certains points. Ces chansons ont un je ne sais quoi de plus optimiste qui transpire des paroles comme des airs, ses rythmiques et ses arrangements ont une base un peu plus moderne. Et si la voix ressemble dans ses intonations, Adam a un phrasé moins net que celui de Leonard (moi qui possède une oreille à la limite du handicap sévère dès que j’essaie de comprendre de l’anglais à l’oral, je saisis cependant tout ce que chante Leonard, ce qui n’est pas aussi évident avec Adam).

Je réalise que je parle de l’album de Adam Cohen en le comparant au travail de son père, ce qui n’est peut-être pas l’approche la plus judicieuse. Mais pour moi il est impossible de passer outre la filiation, je ne peux juste pas faire autrement. Et si cela peut paraître un tantinet injuste pour le fils de voir son travail ainsi ausculté à travers le prisme de celui qu’a livré son père avant lui, j’ai été rassuré et même confirmé dans mon inclinaison à la comparaison père / fils en entendant Adam Cohen en interview dans l’émission Taratata. Adam y avouait n’avoir quasiment rien écrit de « neuf » pour produire cet album. Il s’est contenté de regrouper des chansons qu’il avait abandonnées et laissées dans un coin tout au long de sa carrière. Certaines comme Out of Bed ont été écrites il y a déjà vingt ans. Et pourquoi les avait-ils abandonnées jusqu’à aujourd’hui ? Tout simplement parce qu’elles étaient à son goût trop proches des chansons de son père, dans leur architecture, leurs thèmes ou leur poésie. Que jusqu’alors il avait cherché dans ses précédents albums à se démarquer de l’œuvre de Leonard Cohen, mais qu’à présent il a dépassé ce stade et s’affirme enfin comme il est réellement, y compris dans ses influences paternelles.

Et après avoir entendu cet album, je me dis que finalement, dans le talent il doit y avoir une sacrée part d’hérédité. Adam Cohen en est une preuve vivante.

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 09:27

Parler d’un film, gloser d’un livre, commenter un comic book, je sais à peu près faire (z’êtes gentils, laissez moi cette illusion, merci). En tout cas, ça m’est assez naturel. Mais causer musique… je trouve ça beaucoup plus difficile que ça n’en a l’air. D’abord et certainement parce que je ne suis pas musicien (à mon grand regret). Du coup j’ai du mal à trouver les mots pour décrire ce que j’entends. Pourtant je suis très réceptif à la musique hein, c’est pas le souci, le truc c’est de parvenir à en dire quelque chose d’autre que « c’est bien », « j’aime » ou « ça ne me plaît pas »… Quelque chose qui n’ait pas l’air trop naze non plus, trop plat, trop convenu.
C’est pour cette raison que j’aborde peu souvent le sujet ici, par crainte d’être tout sauf pertinent, et totalement inintéressant.

Voilà, cette précaution sous forme d’avertissement préalable étant prise, je vais donc essayer ici de vous toucher deux mots d’un album qui m’a littéralement soufflé. Un cd, c’est simple, que par période j’écoute en boucle. Au boulot, dans ma voiture. Que je chantonne partout ailleurs dans ma tête tout le reste du temps. Et quand je dis « par période » ça peut durer des jours voire des semaines. Musicalement mono-maniaque le gars.

L’album en question c’est Viva la Vida, du groupe anglais Colplay.
Oui d’accord, c’est pas la dernière nouveauté en date dans les bacs des disquaires. Pardon, en top vente des téléchargements je voulais dire. Mais on s’en fout, quand c’est bon et qu’on aime, l’âge ne compte pas (dixit Anna Nicole Smith le jour de son mariage). De toute manière j’ai depuis longtemps abandonné l’idée d’être le type le plus fashion du monde. Au point que moi-même j’ai découvert cet album (à l’origine sorti en 2008) pas loin de deux ans après le reste du monde. Pire que ça : je ne connaissais quasiment rien de Coldplay jusqu’alors (un ou deux morceaux à tout casser). Et puis évidemment la chanson titre Viva la Vida qui m’avait dès le départ bien plu tout en me faisant imperceptiblement penser à un autre morceau que je classe dans mes incontournables : Better Sweet Symphonie du groupe The Verve. Sans pouvoir dire exactement pourquoi du reste. Une rythmique entêtante, des accords proches, une orchestration enthousiasmante avec ses violons qui prennent le pouvoir, je ne saurais dire vraiment. C’est ce qui m’a poussé à acheter cet album pour voir (dont le titre complet d’ailleurs est Viva la Vida or Death and All His Friends). Et au bout de deux ou trois écoutes j’étais conquis. Scotché. Cueilli. Ensorcelé.

Car ce que je dis du morceau Viva la Vida, je peux le dire de chacun des titres qui composent l’album. Rien à jeter. Rien d’un peu « moins bon » que le reste. Tout est excellent, du début à la fin. Ça faisait longtemps que je n’avais pas trouvé une telle cohérence dans un album de pop-rock. Une espèce d’album-concept réussi de la première à la dernière note. Assez phénoménal…

Je ne vais pas passer en revue chaque chanson, on va éviter le fastidieux et le soporifique. Ne me remerciez pas, c’est normal, je m’étale déjà bien assez comme ça, je le sais bien…
Mais quand même, je ne peux pas m’empêcher de parler en particuliers des titres les plus longs comme Lovers in Japan / Reign of Love, Yes, ou encore Death and All His Friends qui se permettent le luxe d’enchaîner dans le même morceau deux voire trois mélodies différentes qui se répondent et se complètent. Et tant pis si ça dure sept minutes, au contraire même je dirais tant mieux !

Pour être tout à fait honnête, je ne me suis même pas penché vraiment sur les paroles des chansons. Un titre comme Strawberry Swing par exemple m’intrigue mais je ne cherche pas à le décortiquer plus avant. Ah oui, j’oubliais de dire que je suis une quiche en anglais oral. Ça doit être mon oreille défaillante ou mon cerveau en kit la cause, toujours est-il que je suis incapable de comprendre plus que quelques mots par ci par là qui se détachent et que je reconnais… Ouais je sais la honte. Je vous merde.
Ça me le fait moins avec Coldplay qu’avec des baragouineurs qui marmonnent entre leurs dents tels que Bruce Springsteen ou Mark Knopfler (pas de mauvaise interprétation attention : pour moi ce sont des monstres sacrés hein), n’empêche que j’ai du mal. Le seul qui fasse résonner chaque syllabe de ses mots dans ma tête c’est mon Dieu vivant, j’ai nommé Leonard Cohen. Mais j’y reviendrais peut-être une autre fois, c’est pas le sujet.

Et franchement je m’en fous de pas y biter grand-chose aux textes de cet album. Ce qui me prend à chaque fois c’est la musicalité de l’ensemble, les orchestrations mi-symphoniques mi-rock. Les voix qui s’accordent parfaitement aux instruments, les chœurs qui ponctuent le tout par derrière. Et l’énergie. Parce que cet album, si je le trouve épatant sur bien des points, possède à mes yeux une qualité unique, que très rarement j’ai retrouvé ailleurs, ou du moins pas sur un album complet. Toute musique dégage un ressenti, résonne en chacun d’une manière différente, crée des sentiments chez celui qui l’écoute. Quand j’écoute cet album, j’entends deux sons en parfait équilibre, qui éveillent deux sensations pourtant très éloignées l’une de l’autre, mais que je retrouve ici dans un parfait mélange. J’y entends d’une part quelque chose qui me soulève et m’entraîne dans un enthousiasme et un dynamisme irrésistibles, et à côté de ça il y a toute une gamme de notes et d’intonations qui éveillent en moi un sentiment de nostalgie sourde, presque de tristesse mais pas tout à fait, un peu comme la Saudade chère à Lavilliers mais anglicisée. Un mélange de larmes et de sourire. Très difficile à décrire et définir mais qui se ressent pourtant avec une émouvante limpidité.

Ouais, pas facile à expliquer. Mais c’est vraiment ainsi que je ressens cet album. Avec force et douceur. Et c’est pour ça que je peux l’écouter en boucle. Pour ça qu’il est dans mon top albums, tous artistes et tous genres confondus. Pour ça que j’aime Viva la Vida or Death and All His Friends et pour ça que j’avais envie d’en parler un peu, tant bien que mal, ici.

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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 16:30

Voici venu le temps du dernier quizz spécial chansons françaises que je vous ai concocté. Vous avez été plus ou moins bons sur les trois précédents, voyons ce que vous donnerez sur celui-ci…
Point de vue difficulté, j’ai panaché : il y a du très facile et du beaucoup plus difficile … à mon avis c’est largement faisable.

Encore une fois, tout ce que je vous propose de trouver (le pire comme le meilleur) est issu de ma cdthèque perso, donc si moi je connais, tout le monde peut connaître…

Je rappelle comme à chaque fois la règle : deux listes, l’une de 20 interprètes, l’autre de 20 titres de chansons, à vous de faire dans les commentaires l’association correcte « qui chante quoi ». Bien sûr c’est beaucoup plus intéressant si vous ne copiez pas les réponses de vos collègues lecteurs, et si vous vous passez de l’aide des moteurs de recherche. Faites marcher vos connaissances et votre mémoire. Mais si, mais si, ça se situe là dans votre cerveau, entre les oreilles. Mais si je vous dis, ce n’est pas parce que vous ne vous en servez pas que ça n’existe pas ! allez, du nerf, et bonne recherche.


Voici les 20 interprètes :

 CharlÉlie Couture, Mano Negra, Joe Dassin, Les Garçons Bouchers, Mylène Farmer, Serge Gainsbourg, Richard Gotainer, La Grande Sophie, JP Nataf, Vanessa Paradis, Sinclair, Les Satellites, Jacques Bastello, Grand Popo Football Club, Native, Léopold Nord & Vous, Philippe Russo, Raft, Rita Mitsouko, Charles Aznavour.


Et voici les 20 titres à leur associer :

 Primitif, Femmes du Congo, Si c’est bon comme ça, King Kong Five, Martin, Envie de partir, L’instant X, J’aime les requins, Tu te laisses aller, Mosquito, T.C. Brother, Ovale Lune, Les Hommes c’est pas des mecs bien, C’est comme ça, La Bière, Élisa, Bip Bip, C’est l’amour, Magie noire, Tu planes sur moi.


À vous de jouer !

 

 Edit du 26 mars : vous trouverez les solutions en fin de commentaires, merci aux joueuses et joueurs !

 

 

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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 10:32

Vendredi soir a eu lieu dans la petite sale du Noumatrouff à Mulhouse le concert du groupe Ange, étape haut-rhinoise de la tournée actuelle “Le tour de la question”.

L'affiche de la tournée avec dans l'ordre : Tristan, Thierry, Caroline, Benoît, Hassan et Christian.
Ange, c’est plus qu’un simple groupe, Ange, c’est un phénomène à part entière. Créé en 1970 à Belfort, ce groupe de rock progressif a traversé les années avec plus ou moins de succès mais avec toujours la même énergie créative.

Mais pour moi, Ange c’est quelque chose de très spécial. Comme un amour d’adolescent qui ne s’est jamais éteint et qui a grandi en même temps que moi. J’ai découvert le groupe belfortain en 1990 avec leur opéra-rock complètement déjanté Sève qui peut (certainement l’un de leurs albums les plus barrés) consacré au bicentenaire de la Révolution. Coup de foudre instantané. Depuis Ange ne m’a plus jamais quitté, et le tout premier concert auquel j’ai assisté a été celui de la tournée d’adieu du groupe. Du moins du groupe dans sa formation d’origine, avec tous les vieux briscards des années 70.

Mais comme se plaît à le dire Christian Décamps, le leader charismatique du groupe : « un Ange est éternel », et la nouvelle génération n’a pas tardé à prendre la relève. Dans les années 80 était né un groupe apparenté à Ange et pour cause : Christian Décamps et Fils, un petit groupe de jeunes articulés autour de Christian Décamps et composé entre autres du fiston de ce dernier, Tristan. C’est sur cette base que Ange s’est renouvelé avec du sang neuf et plein d’enthousiasme.

Christian Décamps, et s'il était un messie ?
Alors évidemment, du groupe mythique il ne reste plus que le leader d’origine, Christian Décamps. Mais les petits jeunes qui ont repris le flambeau ont su s’imposer avec talent et respect des anciens, et ont réussi le tour de force de conserver l’esprit de Ange tout en y injectant la fougue de leur jeunesse. Pour preuve deux de leurs albums, La Voiture à Eau en 1999 et ? (ce n’est pas une erreur de frappe, c’est le titre de l’album) en 2006 qui sont parmi les meilleurs albums du groupe toutes périodes confondues.

Et en concert, autant vous dire que Ange ne faillit pas à sa réputation.
Un concert de Ange c’est un spectacle dans tous les sens du terme. Pas seulement un tour de chant ou une suite de titres piochés dans leur immense répertoire. C’est évidemment de la musique et des chansons mais c’est bien plus encore. C’est du théâtre, c’est de la poésie, c’est de l’humour, du partage, des émotions. De l’énergie sonique en quantité illimitée.

Vendredi soir donc, Ange est passé à Mulhouse et y a mis le feu. Dans un concert de Ange on a de tout : des jeunes et des vieux, des anciens rockers au look décalé, des plus classiques aux crânes dégarnis et des moustachus aux cheveux longs, des enfants, des parents et des grands-parents, … mais tous ont un point commun : ils ont dans la tête un petit truc qui les relie les uns aux autres, l’esprit Ange…

Christian : un micro, une guitare et sa tunique blanche, nuff' said !
Que dire du concert en lui-même ? Comme chacun des concerts de Ange, ça a été une expérience géniale. Le groupe a habillement mélangé vieux tubes et morceaux récents tirés du dernier album. Les anciens ont eu le plaisir d’entendre des reprise de titres cultes comme Caricatures, Vu d’un Chien, Aujourd’hui c’est la Fête chez l’Apprenti Sorcier, Jour après Jour, Cap’taine Cœur de Miel et même un inattendu mais réjouissant Si j’étais le Messie. Sans parler de l’indéboulonnable et incontournable reprise de Ces Gens-là bien évidemment. Et parmi les nouveautés il y a eu de très belles interprétations de titres comme Ricochets, Histoires d’Outre-Rêve ou Jazouillis.

Et les prestations des uns et des autres ont été tout à fait à la hauteur. Bien sûr il y a Christian Décamps, le personnage central, le « père » entouré de ses enfants. Le bonhomme a un charisme énorme, et avec l’âge il a doucement pris des airs de patriarche décalé. Ses cheveux longs et sa barbe ont blanchi, mais son énergie reste celle d’un enfant survolté ! Égal à lui-même, Christian passe de la guitare sèche aux claviers, avec un petit détour par l’accordéon, et surtout il reste la pierre angulaire du groupe pour le chant. Sa voix semble prendre toujours plus d’ampleur, son timbre est plus affirmé que jamais, bref, il a 60 ans et il assure encore et toujours !

Christian et Caroline, complices de chant et de jeu.
À ses côtés au chant, il y a l’exceptionnelle Caroline Crozat. Sa très belle voix est un plus indéniable et elle apporte une touche de féminité, de sensibilité et de sensualité qui donne un relief et une profondeur supplémentaires aux chansons du groupe. Caroline use de sa voix littéralement comme d’un instrument, et sa prestation n’a rien à envier à celle de Christian bien qu’étant dans un tout autre registre.

Question chant, Tristan Décamps n’est pas en reste non plus. Alors que je n’appréciais que modérément son timbre de voix jusqu’ici, il a réellement pris une ampleur inédite et il m’a totalement scotché dans sa reprise en solo de Harmonie. Celui qui a pris la relève de son oncle Francis Décamps aux claviers s’est montré très à l’aise, et s’il n’a pas encore la présence énorme qu’avait Francis sur scène, Tristan en prend sans aucun doute possible le chemin.

Un autre qui éblouit la scène de son talent, c’est le génial Hassan Hajdi à la guitare électrique. Ce garçon là est vraiment brillant et assure ses solos comme personne. Et le tout avec une énergie impressionnante, il enchaîne riff sur riff tout en étant très mobile sur scène lors des passages les plus dynamiques. Là où le mythique Brézovar sublimait son génie par un visage imperturbable et une attitude toute en force tranquille, Hassan ajoute à son talent un sourire à toute épreuve et une vraie joie communicative de jouer. Hassan Hajdi est un très grand de la guitare électrique, sans l’ombre d’un doute.

Le groupe en scène : de l'énergie plein les oreilles.
Autre musicien de premier plan, bien que beaucoup plus en retenue que ses collègues, Thierry Sidhoum à la basse peut sans complexe rivaliser avec son illustre prédécesseur Daniel Haas. Aussi réservé l’un que l’autre, il affichent le même talent de bassiste, qui font d’eux des pièces discrètes mais maîtresses du groupe.

Enfin et pour finir, il y a Benoît Cazzulini le batteur, que je connais beaucoup moins et qui en tant que « petit dernier » de la formation est un peu plus en retrait que ses camarades. Là encore on est tenté de le comparer aux autres batteurs qui se sont succédés au sein du groupe, en particuliers aux deux plus charismatiques, Gérard Jelsch et Hervé Rouyer. Le premier avait une percussion étonnante et le second un dynamisme hors du commun. Benoît quant à lui est un juste milieu. S’il n’excelle peut-être pas, il allie avec finesse de belles qualités de puissance et d’habileté. Reste pour lui à s’affirmer pleinement et asseoir sa place dans le groupe, toujours est-il qu’il pourrait inscrire son nom au firmament d’Ange s’il parvient à gagner encore un peu en aisance. Au sein de telles fortes individualités il est certes facile de rester en retrait, mais le batteur aura tout à gagner en prenant un peu d’ampleur, ce dont je ne doute pas qu’il soit capable.

Vendredi soir donc, Ange nous a prouvé que les jeunes reprennent le flambeau avec brio. Christian Décamps peut être fier de son nouveau groupe, et les fans inconditionnels peuvent être rassurés : cet Ange-ci promet encore de longues et très belles années de musique.


Pochette du dernier album studio sorti en 2006 : ?Accroche du dernier album :
Il était une fois un point d’interrogation qui ne se posait jamais de question. Il vivait, tranquille, sa petite vie de ponctuation, finissant régulièrement en bout de ligne comme le font trop souvent les poissons… Un jour, le point d’interrogation tomba amoureux d’une réponse.
Alors l’espèce humaine entama son irréversible calvaire…
Y avait-il une réponse ? C’est là toute la question…

 

 

 

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8 novembre 2006 3 08 /11 /novembre /2006 10:41

Lors du dernier quizz musical que je vous ai proposé ici, certains scores m’ont conforté dans l’idée que j’avais fait un peu trop facile étant donné la culture musicale étendue de certain(e)s participant(e)s…
Pour cette nouvelle session j’ai donc décidé d’augmenter la difficulté en mélangeant dans ma sélection quelques « classiques » avec des artistes moins grand public, ou qui n’ont eu qu’un succès ponctuel il y a de cela quelques temps déjà…

Mais attention, je ne me suis pas amusé à vous dégotter les titres les plus introuvables de derrière les fagots histoire de corser l’affaire, non non non ce serait bien mal me connaître…
Comme à chaque quizz je pioche les idées de chansons dans ma discothèque perso. Je pars du principe qu’en tant que simple amateur de musique, si j’ai ces titres chez moi en cd, en vinyles ou en mp3, n’importe qui peut les connaître aussi…
Les plus attentifs remarqueront au passage que je suis non seulement assez éclectique dans mes choix musicaux, mais aussi que je ne fais pas toujours preuve du meilleur goût ! :o)

Je reviens rapidement sur les règles : je vous donne 20 artistes et 20 titres de chansons, à vous de faire le lien « qui chante quoi » dans les commentaires. Comme d’habitude, ce sera plus intéressant si vous ne vous aidez pas de google ou autres moteurs de recherche mais uniquement de votre mémoire…

Voici les 20 interprètes :

 Jacques Brel, Marc Lavoine, Gérard Blanchard, Canada, François Feldman, Yannick Noah, Phil Barney, Philippe Swan, Renaud, Philippe Katerine, Rãga, Les Infidèles, Jean Schultheis, Pierre Perret, Zap Shaker, Gold, France Gall & Michel Berger, Claude Nougaro, Peter Kitsch, Pow Wow.

Et voici les 20 titres à leur associer :

 Plus près des Étoiles, La Voix des Sages, Rebelle, Le Chat, Je vous emmerde, Lily, Il faut tourner la page, C’est ça la France, Je l’aime quand même, Laissez passer les Rêves, Le Serpent qui danse, ABC pour Casser, Confidence pour Confidence, La Chanson de Jacky, Dans mon HLM, Panique au Dancing, Elle voulait revoir sa Normandie, Tell’ment je pense à toi, Le Loup s’endort, Dans ma Rue.


Voilà, j’attends de pied ferme vos réponses !!

 

 

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3 octobre 2006 2 03 /10 /octobre /2006 08:33

Comme promis voici le retour du quizz musical !
Le dernier en date avait été proposé par NoNo et explorait les grands classiques du rock anglo-saxon, cette fois-ci je vous propose de vous replonger avec moi dans la chanson française.

Pour cette sélection, j’ai fait assez facile je pense, à une ou deux exceptions près peut-être, mais du coup on peut les trouver par élimination et déduction…
Mais bon, c’est toujours plus facile quand on a les réponses je sais !

Je vous rappelle le concept rapidement : je vous donne 20 artistes et 20 titres de chansons, à vous de faire le lien « qui chante quoi » dans les commentaires. Comme d’habitude, ce sera plus intéressant si vous ne vous aidez pas de google ou autres moteurs de recherche mais uniquement de votre mémoire…

Voici les 20 interprètes :

 Fred Blondin, Bernard Lavilliers, Cookie Dingler, Axelle Red, Étienne Daho, Matmatah, Sandy, Jean-Jacques Goldman, Stephan Eicher, Art Mengo, Laurent Voulzy, Jacques Dutronc, Enzo Enzo, Niagara, Négresses Vertes, Philippe Risoli, Michel Fugain, Noir Désir, Mylène Farmer & Jean-Louis Murat, Pigalle.


Et voici les 20 titres de chansons à leur associer :

 Quelqu’un de BienLes Parfums de sa VieUn Jour en FranceEmmaL’opportunisteJ’voudrais Voir les ÎlesBonne IdéeJe n’aurai pas le TempsFemme LibéréeJ’ai Faim de ToiDans la Salle du Bar-Tabac de la Rue des MartyrsLe Monde Tourne MalVoilà l’ÉtéDes Attractions DésastreCuitas les Bananas15ème RoundElle Vient me VoirRegretsPendant que les Champs BrûlentLe Rêve du Pêcheur.


J’espère que ça vous plaira : à vous de jouer !

 

 

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26 août 2006 6 26 /08 /août /2006 00:47

Après le double concert festif Grande Sophie / Bénabar, il y avait un concert de la Foire aux Vins de Colmar que je ne voulais absolument pas rater, c’était celui de Texas.
Pour deux raisons. La première c’est que depuis leurs débuts je les écoute et aime leur musique. Je dois avoir tous leurs albums studio, et je serais bien embêté de devoir en choisir un seul parmi l’ensemble tant la qualité chez eux rime avec la constance. La seconde c’est que j’ai déjà eu le plaisir de les voir en concert il y a 4-5 ans, et que j’en avais gardé un excellent souvenir.
Deux bonnes raisons donc.

Ce vendredi 18 août, l’amphi de la foire était bourré à craquer, le concert affichait complet depuis plusieurs semaines déjà. Nous étions donc 10 000 personnes à venir applaudir le groupe écossais.
Passons rapidement le groupe de première partie, des jeunes musiciens locaux au demeurant sympathiques mais pas transcendants, à la musique un peu plombée par l’excès de basses et des paroles inaudibles (et pourtant ce n’était pas du hard-rock).

Mais dès l’arrivée de Sharleen Spiteri et de son groupe, la soirée a démarré sur les chapeaux de roues. C’est bien simple, durant les presque deux heures qu’a duré le spectacle, chaque morceau interprété était un tube, du premier au dernier.

Sharleen avait la pêche ce soir là, et elle n'est pas du genre avare sur scène !
Car mine de rien, Texas a 20 ans en 2006… eh oui, ça ne me rajeunit pas de dire ça, mais le groupe de rock de Glasgow s’est formé en 1986 ! J'ai l'impression que c'était hier... Ils avaient connu dès 1989 un succès immense avec le cultissime I Don’t Want A Lover, et depuis ils sortent vaille que vaille album après album, malgré un petit passage à vide au milieu des années 90.

Sharleen Spiteri, 38 ans au compteur, a atteint une certaine maturité sur scène, mais reste toujours une surdouée des performances en live. Toujours le sourire aux lèvres et la parole facile, elle interpelle et discute avec le public, se débrouillant entre un anglais consciencieusement bien articulé et un français pas si mauvais qu’elle tient de son grand-père bordelais.

Un concert de Texas c’est ça : des tubes qui s’enchaînent alternés avec des pauses durant lesquelles Sharleen en profite pour installer une vraie complicité entre elle, ses musiciens et le public. Le tout dans la bonne humeur et loin du spectacle réglé et programmé à la lettre, il y a toujours une large part d’improvisation et de spontanéité. Par exemple, elle n’a pas hésité à faire monter sur scène une fan qui lui avait fait part de son rêve de jouer un morceau à la batterie avec le groupe. Les deux batteurs lui ont fait une petite place (pour qu'elle puisse faire semblant de jouer avec eux) et bien que visiblement surprise de se retrouver devant 10 000 spectateurs, la fan en question s’est bien débrouillée et est parfaitement restée dans le rythme !

Le final seule à la guitare, un moment d'émotion contenue...
Côté musical le concert a été très varié et ne laissait pas de place à l’ennui. Jugez vous-même : Black Eyed Boy, In Our Lifetime, Getaway, Summer Son, Say What You Want, Nevermind, So Called Friend, Can’t Resist, Halo, I Don't Want A Lover,When We Are Together, … que des titres excellents.
Sans parler de la chanson finale, Sharleen seule avec sa guitare qui a laissé parler l’émotion avec Put Your Arms Around Me. Et quel bonheur quand ont retenti les premières notes de mes petites préférées : Every Day Now qu’elle a interprétée au piano, Sleep, une chouette nouveauté du dernier album Red Book en duo avec le guitariste Tony McGovern (sur l'album c'est avec Paul Buchanan), et surtout l’immense Inner Smile, entraînant et jouissif au possible.

Bref, en ressortant de ce concert et si on considère l’ensemble de leur discographie, on ne peut s’empêcher de penser que Texas, comme le bon vin, semble se bonifier avec l’âge, et chaque album qui passe est une preuve de plus que la musique pop-rock de qualité n’est pas morte. Et alors que le groupe fête ses 20 ans, il reste encore et toujours dans le coup, bien ancré sur la scène musicale actuelle.

Longue vie à Texas !

La (superbe) pochette du dernier album studio de Texas, Red Book, une vraie pépite musicale... 
NdS : Je voudrais ici remercier tout particulièrement Fanny (alias Sharleen711) pour m'avoir autorisé à utiliser deux de ses photos du concert de Colmar pour illustrer mon article. Vous pourrez trouver ses autres photos soit sur le site
Texas-Heaven.com, soit sur son blog. Encore merci à elle pour sa gentillesse !

 

 

 

 

 

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18 août 2006 5 18 /08 /août /2006 16:19

Chaque année près de chez moi à Colmar, se déroule pendant une dizaine de jours la Foire aux Vins, qui en marge de la foire exposition est également un festival estival de concerts.
Des artistes les plus connus aux débutants, toutes les tendances musicales y trouvent leur place, c’est ainsi qu’au fil des années j’ai pu y voir de nombreux artistes, de Bernard Lavilliers à Joe Cocker, de Murray Head à Lou Reed, ZZ Top, Deff Leppard, Manu Chao ou encore Compay Segundo, j’en passe et des meilleurs…
Hier soir se produisaient donc sur scène deux artistes français de la vague musicale actuelle, dans un double-concert plus que remuant.

C’est la Grande Sophie qui a ouvert le bal et qui a littéralement mis le feu à la salle. Cette fille-là est une furie ! Elle se donne visiblement à fond sur scène, chante, danse, joue de la guitare, saute dans tous les coins, interpelle les spectateurs, bref elle met une ambiance du tonnerre. Alors que ses albums studio recèlent de chansons tantôt douces tantôt rythmées, sur scène elle a un seul mot d’ordre : faire bouger les gens. C’est elle qui le dit dans une de ses chansons : « J’aime le Rock’n Roll ! », et elle l’a prouvé tout du long du concert.

La Grande Sophie : une guitare à la main elle est inarrêtable !
Elle a enchaîné ses tubes les plus connus et les plus enthousiasmants, avec entre autres Martin, Du Courage, La Suite, le Milieu, la Fin, Égoïste, Je ne changerai jamais, On savait (devenir grand), Rien que nous deux au monde … avec une pêche d’enfer et une bonne humeur communicative. D’ailleurs ça n’a pas fait un pli, elle s’est mis le public dans la poche. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, tout le monde chantait et dansait avec elle.
Et alors que je croyais cela réservé aux hard-rockers hirsutes et tatoués de haut en bas, elle s’est jetée tête la première dans la foule en fin de concert et a fait un voyage portée à bout de bras dans toute la fosse pendant que ses musicos s’en donnaient à cœur joie sur la scène ! À l’heure où les grosses stars du rock ne se déplacent plus sans leurs gardes du corps, elle ne s’est pas posé la moindre question avant son bain de foule et ça témoigne de son esprit : festif et déjanté.
J’aimais déjà beaucoup ses albums, mais je dois dire qu’elle prend encore une autre dimension sur scène. À conseiller !

Après la grande brune, c’est un petit brun qui a fait son entrée : Bénabar. Et lui aussi sait s’y prendre pour mettre de l’ambiance dans un concert. En même temps il faut bien dire que la Grande Sophie lui avait déjà bien préparé le terrain, mais il a su ne pas laisser retomber le soufflé !
Comme le concert avait commencé il s’est poursuivi : un artiste habité sur scène et un public conquis devant lui. Entre bons mots, apartés avec le public et chansons drôles et bien foutues, Bénabar a un style bien à lui et avec son air de pas y toucher il sait offrir un spectacle digne de ce nom, même aux gens qui ne viennent pas forcément pour le voir lui. C’est d’ailleurs je trouve une de ses plus grandes qualités : en concert il embarque tout le monde avec lui, les fans comme ceux qui ne le connaissent pas forcément. Ils sont rares ces artistes qui savent enthousiasmer un public à ce point. Pour ma part je l’avais déjà vu (au même festival) il y a deux ans, mais en dehors de cette occasion et de la diffusion sur les ondes de ses chansons, je n’ai jamais écouté ses albums. Autant dire que je connais peu sa musique. Pour autant, quand il se produit sur scène, les rythmes et les paroles de ses chansons fonctionnent parfaitement avec moi. Même sans connaître, je suis happé par le personnage et ce qu’il dégage.

Bénabar : ne vous laissez pas avoir par son air de garçon bien rangé...
Parce que le gaillard, s’il porte toujours costume et chemise blanche, style BCBG, se lâche complètement dès qu’il tient un micro en main ! L’immobilité ne fait pas partie de son jeu de scène. Il court, se tortille, danse, blague, grimace, saute dans tous les sens, se contorsionne… le tout en chantant évidemment ! Il ne s’offre de répit que lors de chansons un peu plus douces, plus posées, parfois presque tristes. Et le reste du temps il joue et déconne avec les spectateurs et avec ses musiciens, il n’arrête pas une seconde. Il doit être monté sur ressort, c’est à se demander comment il fait pour dépenser autant d’énergie en si peu de temps. Quelque part entre Jacques Brel et Gad Elmaleh, il y a le mutant Bénabar. Son style qui allie jolies chansons et textes amusants lui confère une place un peu à part dans le paysage musical français. Un peu comme un Fernandel ou un Bourvil des années 2000…

Bref, hier soir à la Foire aux Vins de Colmar, ça a bougé, et bien bougé. Difficile de dire qui de la Grande Sophie ou de Bénabar a eu le plus de succès, une chose est sûre, aucun n’a laissé de marbre !

Si la chanson française ne vous rebute pas et si vous en avez l’occasion, allez voir ces deux là en tournée, histoire de partager un peu de leur folie, et garre à vous : le vent d’originalité qu’ils soufflent sur la scène française actuelle pourrait bien vous emporter avec eux !

 

 

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25 juillet 2006 2 25 /07 /juillet /2006 13:56
J’avais prévu de continuer sur ma lancée avec un autre quizz spécial chansons françaises que j’ai en réserve, mais j’ai reçu il y a quelques temps un petit message de la part de NoNo me proposant un quizz qu’il avait concocté de ses petits doigts agiles et tout droit sorti de son esprit facétieux et pétri de rock anglo-saxon.

Donc aujourd’hui c’est ce quizz là que je vous propose. Rien que du très bon en plus, mais presque exclusivement en anglais par contre… Il y a de grands classiques du genre, et que des noms d’artistes ou de groupes prestigieux.

Je rappelle rapidement le concept : une liste de 20 artistes, une liste de 20 titres de chansons, le but étant de relier chaque chanson à son interprète légitime. Pour ne pas fausser le jeu, je compte sur l’esprit fair-play des joueurs pour ne pas s’inspirer des réponses des autres ni utiliser de moteurs de recherche comme Google pour trouver les bonnes associations de noms.

Voici les 20 interprètes :

 Red Hot Chili Peppers, The Doors, No One Is Innocent, The Cure, Led Zeppelin, Metallica, Dire Straits, Noir Désir, Guns ’n Roses, Chuck Berry, Nirvana, Velvet Underground, ZZ Top, John Lee Hooker, Ray Charles, AC/DC, Supertramp, Pink Floyd, U2, The Rolling Stones.


Et voici les 20 titres :

 Johnny B. Goode - What I say - Enter Sandman - Stairway to Heaven - À l’arrière des TaxisHeroin - Where the Streets have no Name - Take the Long Way Home - La Peau - All Apologies - The End - La Grange - Just like Heaven - One of these Days - Welcome to the Jungle - Highway to Hell - Boom Boom - Paint it Black - Once upon a Time in the West - Give it away.


Comme ce n’est pas moi qui ai préparé ce quizz, j’ai pu en profiter pour y jouer, et j’ai trouvé 12 bonnes réponses, ce qui est plutôt moyen comme score dirons-nous…

Et vous, saurez-vous relever le défi de NoNo ?

 

 Edit du 8 août : vous trouverez les bonnes réponses en fin de commentaires, un immense merci à tous les participant(e)s. Vous pourrez bientôt à nouveau mesurer vos connaissances musicales dans le prochain quizz spécial qui sera consacré aux chansons françaises cette fois.   ;o)

 

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13 juin 2006 2 13 /06 /juin /2006 09:35
Si j’en crois le nombre de commentaires au quizz musical que j’avais mis en ligne il y a quelques temps déjà, il semblerait que l’article avait plu, et une des participantes (la mélomane Indoline) m’avait à cette occasion soufflé l’idée de réitérer ce type de jeu mais avec des interprètes français (ou  francophones).
Donc j’en ai concocté un, pas trop compliqué pour commencer (enfin je pense), et j’en ai d’autres en réserve si jamais ça plaît vraiment…

Je vous rappelle le concept rapidement : je vous donne 20 artistes et 20 titres de chansons, à vous de faire le lien « qui chante quoi » dans les commentaires. Comme la dernière fois, ce sera plus intéressant si vous ne vous aidez pas de google ou autres moteurs de recherche mais uniquement de votre mémoire…

Voici les 20 interprètes :

 L’Affaire Louis Trio
, Les Innocents, William Sheller, Ange, Jean-Louis Aubert, Michel Jonasz, Alain Souchon, Aston Villa, Francis Cabrel, Maxime Le Forestier, Les Avions, Gérald de Palmas, Jill Caplan, Louise Attaque, Philippe Lafontaine, Eddy Mitchell, Louis Chédid, M, Georges Brassens, Florent Pagny.

Et voici les 20 titres de chansons à leur associer :

 S'asseoir par terre
Tu finiras toute seuleCœur de LoupMobilis in MobileUn portrait de Norman RockwellNatalie WoodNuit sauvageMachistadorJ’veux pas qu’tu t’en aillesUne jolie FleurLes Filles de l’AuroreRaisonneLes absents ont toujours tortChienne d’idéeEt un Jour une FemmeFous à lierOde à ÉmileEncore et encoreAmoursLe Bout du Rouleau.


Comme vous le constatez, il y en a pour tous les goûts : à vous de jouer !

 

 Edit du 23 juin : vous trouverez les bonnes réponses en fin de commentaires, merci encore aux participants !

 

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