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  • : Moleskine et Moi
  • : de la Pop Culture, un peu d'actualité, pastafarismes et autres petites choses...
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Attention !

Avant de lire les notes que je fais sur les films que je vois et les bd que je lis, sachez que dans mes commentaires il m'arrive parfois de dévoiler les histoires et les intrigues. Ceci dit pour les comics, je n'en parle que quelques mois après leur publication, ce qui laisse le temps de les lire avant de lire mes chroniques.
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Série(s) en cours

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Quand je cause d'un film, je fais souvent des articles plutôt longs, et pas toujours en phase avec l'actualité du moment. Dans cette page d'avis vite dits je me propose de faire exactement l'opposé : quelques mots rapides pour donner un avis sur ce que je viens de voir. Certains films feront peut-être par la suite l'objet d'articles plus complets, ou pas. Cette page est donc mise à jour en même temps que l'encart "Vu récemment" qui pointe vers elle...

 

 

 

 

 

 

justified-saison-1

Justified saison 1 : Un panel de personnages roots mais bien campés, des intrigues simples mais bien ficelées, des interprètes charismatiques et qu'on aime voir évoluer, une montée en puissance lente mais maîtrisée, une touche d'humour bien venue au milieu d'événements plus graves... Dans la première moitié de saison j'ai eu un peu peur que la série tombe dans la facilité et nous serve du "un épisode = une enquête" mais dès le retour dans la série de Boyd Crowder (Walton Goggins, l'éternel Shane Vendrell de The Shield) le fil rouge de la série y gagne à nouveau beaucoup. La fin de saison est assez explosive et inattendue, et permet à Justified de passer de petite série sympa à suivre à quelque chose de bien plus intéressant et addictif. En espérant que l'intérêt va continuer de croitre en saison 2 ! Ah et j'oubliais presque la toujours sublime Natalie Zea qui promène son joli minois de série en série...

 

 

 

 

 

 

all-is-lost

All is lost : Vous avez intérêt à aimer Robert Redford et la flotte si vous allez voir ce film car c'est tout ce que vous y verrez. Et comme il est le seul comédien du film, autant vous dire qu'il n'y a pas beaucoup de lignes de dialogues non plus hein ! Le voilier d'un type partie en solitaire heurte un container à l'abandon au beau milieu de l'Océan Indien, et à partir de là les ennuis ne vont qu'empirer avec le temps qui passe... Tout repose sur Redford, qui il faut le dire est très crédible en vieux marin (un plaisancier mais qui touche sa bille dans le domaine quand même). Cependant le silence, ou plutôt le manque de paroles prononcées, s'avère pesant à la longue, moi à sa place j'aurais causé et juré plus d'une fois, seul ou pas seul ! Très bien foutu, le dénouement un quart de poil too much à mon goût, assez anxiogène du début à la fin, c'est un film réussi mais qui ne donne pas forcément envie de le revoir dans la foulée. En tout cas moi j'ai retenu la leçon : si t'as pas pied, t'y vas pas !!

 

 

 

 

tunnel

Tunnel saison 1 : Scénaristiquement plutôt bien ficelée malgré quelques raccourcis un tantinet trop rapides à mon goût et quelques facilités sur les deux derniers épisodes. Les personnages sont bien campés, celui de Élise frôle tout de même plus d'une fois la caricature, pas forcément dans l'interprétation mais plutôt dans l'écriture. Petit coup de coeur perso pour le rôle passager de Thierry Frémont, toujours excellent acteur. L'intrigue est bien menée, le dénouement contient quelques éléments attendus, d'autres moins. Gros bémol cependant pour la diffusion sur Canal+ : pourquoi ne pas avoir diffusé la série en VO telle qu'en Grande-Bretagne avec les scènes en français pour les protagonistes français et les scènes en anglais pour les protagonistes british ? double-faute avec la version VO sur le canal son secondaire ne proposait pas les sous-titres pour les parties anglaises !! Quel gâchis de perdre ainsi une marque aussi originale à laquelle peu de séries pourraient prétendre...

 

 

 

 

nurse-jackie-saison-5

Nurse Jackie saison 5 : Nurse Jackie est de ces séries qui ne paient pas de mine de prime abord mais qui recèlent de petites pépites disséminées ça et là au cours de certains épisodes. Toujours entourée d'un aéropage de délicieux rôles secondaires, Jackie évolue, se débat et se rebelle dans cette saison envers et contre tous. À ce titre la toute fin du dernier épisode est assez incompréhensible tant elle est en décalage avec les deux dernières saisons ! La qualité de ce cliffhanger assez inattendu dépendra clairement de la suite donnée (et des explications apportées) au cours de la sixième saison... j'espère sincèrement qu'il ne s'agit pas là d'un grosse ficelle pour relancer l'intrigue mais que de vraies motivations scénaristiques fortes se cachent derrière... En dehors de cela, très chouette saison.

 

 

 

 

 

 

carjacked

Carjacked : le casting était prometteur, l'affiche faisait envie et je m'attendais à voir Maria Bello mouiller le maillot dans un film d'action un peu hardboiled. Raté ! C'est gnan-gnan la plupart du temps, Maria Bello joue la nunuche qui n'a rien à voir avec ce que l'affiche laissait présager, le méchant de l'histoire est vraiment méchant et dérangé, mais surtout un peu concon. On s'ennuit pas mal, les incohérences et illogismes sont comme les feuilles d'automne : ils se ramassent à la pelle, tout le film est risible (des otages qui auraient pu se barrer un nombre de fois impressionnant mai qui ne bougent pas, une vraie blonde qui appelle les renseignements en voulant appeler la police, la même vraie blonde qui s'échappe et appelle les renseignements -volontairement cette fois- pour avoir le numéro d'une compagnie de bus scolaires plutôt que de prévenir les flics -trop simple-, un méchant qui n'a plus de balles puis en a à nouveau, qui est super-résistant aux balles et aux chocs frontaux en voitures lancées à toute blinde, deux flics qui se font dégommer et la nana qui se tire avec tout le fric sans que personne ne se doute de rien : crédible de A à Z cette histoire). Grosse daube ce film.

 

 

 

arbitrage

Arbitrage : Richard Gere sur le retour, mais pas dans un film très palpitant. Il s'agit de la déchéance d'un homme d'affaires pris dans un étau entre d'un côté sa boîte qui est à deux doigts de couler en l'entrainant dans des affaires judiciares pour escroquerie et l'accident dans lequel il est impliqué et qui coûte la vie à sa jeune maîtresse. Rien de bien excitant, on s'ennuie un peu, c'est un peu prévisible, et surtout on s'en fiche un peu de ce qui lui arrive à ce vieux beau de Richard. Pas convaincant, pas convaincu !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

utopiaUtopia saison 1 : Série très britannique très atypique qui mêle humour, ultra-violence, culture geek et thèmes complotistes. Un comic book très rare est au centre d'un complot à l'échelle mondiale et tous ceux qui l'ont eu entre les mains sont menacés... Des images assez incroyables, beaucoup de couleurs très vives, des acteurs formidables (le duo de tueurs est incroyablement flippant, Wilson Wilson est savoureux, les enfants sont bluffants), une bande son moderne et très sympa, un scénario intriguant qui dévoile peu à peu ses mystères, bref une belle réussite et une histoire qui prend toute son ampleur en 6 épisodes seulement. Une saison 2 est prévue et ça c'est chouette !

 

 

 

 

 

 

 

 

compliance

Compliance : voici un film à la fois agaçant et plutôt bien fait. On est sans cesse en train de se dire "mais non ça n'est pas possible, ça n'arriverait pas ainsi" et pourtant le film est inspiré de faits réels (au pluriel !!). On est dans le même type d'expérience que celle assez connue qui amène des personnes à "torturer" d'autres personnes dans le cadre d'un jeu télévisé en respectant des "règles du jeu" imposées par un représentant de l'autorité quelconque. Les gens vont parfois très loin, en étant parfaitement de bonne foi et sans penser à mal, juste parce que quelqu'un d'autoritaire leur demande de le faire. C'est assez édifiant de se dire que c'est non seulement possible mais aussi courant. Ce n'est pas un grand film, on n'a pas forcément envie de le revoir, mais ça reste un thème très intéressant.

 

 

 

 

 

the-walking-dead-saison-3

The Walking Dead saison 3 : J'attendais avec impatience l'arc narratif situé à la prison et mettant en scène le personnage du Gouverneur, qui m'avait fortement marqué dans le comic book ! Dans la série télé l'impact est un peu moindre, la prison moins impressionnante comme site, le gouverneur est physiquement plus "ordinaire" que son incarnation de papier (mais pour une série live ce choix était judicieux), et puis il y a des variations plus ou moins importantes d'avec l'histoire originale. J'attendais une fin de saison plus forte en sensations avec la fin de l'arc lié à la prison, ça n'a pas été le cas et j'ai été un peu frustré. Dans l'ensemble la série reste bonne bien que sensiblement édulcorée par rapport aux comics. J'attendais plus et un peu mieux de cette saison, mais je reste très curieux de voir la façon dont la série va évoluer. Le point positif c'est qu'en s'éloignant du scénario du comic, la série parvient à me surprendre quand même un peu. Ah et puis Michonne est parfaitement bien interprétée, et ça c'est pas rien !

 

 

 

 

Evasion

Évasion : je m'attendais à une daubasse frelatée avec la mauvaise critique dont le film a écopé, et puis à l'arrivée j'ai été agréablement surpris. Bien entendu et a contrario si j'avais attendu un chef-d'oeuvre j'aurais été fortement déçu. Pas de fausses promesses donc avec ce film : c'est un honnête film d'action qui pioche dans ce que le genre typé années 80 avait de meilleur et de pire également. J'aurais apprécié un côté un peu plus badass, plus "film de prison" avec de la douleur et de l'hémoglobine, c'est un peu léger de ce point de vue. Des punchlines à l'ancienne, quelques traits d'humour réussis, un duo Stallone / Schwarzy qui fonctionne bien, ça bouge, il y a de l'action. Après les méchants sont aussi méchants qu'ils visent mal, il y a des raccourcis bien pratiques, des incohérences et des énormités assez fameuses mais inhérentes au genre (donc elles passent mieux), mais l'ensemble rend bien quand même, en tout cas moi j'ai apprécié. Loin d'être complètement foireux en tout cas.

 

 

 

 

the-deep-Survivre

The Deep - Survivre : intriguant parce que tiré d'une histoire vraie, le film peine à intéresser. Le naufrage et la survie sont assez vite expédiés, ce qui précède et ce qui suit est assez plan-plan. Manque de rythme, manque d'attachement aux personnages, je n'ai pas pu m'empêcher de me dire à la fin "ok, et alors ?", ce qui est rarement bon signe chez moi. Pas foncièrement mauvais, mais quand même un peu soporifique, ce film ne mérite pas à mon humble avis la bonne réputation qui le précède.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

dexter-s8Dexter saison 8 : cette dernière saison ne restera pas dans les mémoires comme la meilleure, loin de là. D'ailleurs depuis les 3 dernières saisons on sentait nettement la baisse de qualité et de cohérence de la série, mais cette ultime saison enfonce le clou. Les 2 saisons précédentes avaient été sauvées chacune par leurs twists finals, cette fois c'est la toute fin qui achève (dans le sens meurtrier) l'ensemble. Je me disais bien que cette série devait finir mal, l'évolution es personnages tendait à tout sauf à une happy end. Mais pour le coup au lieu de finir mal, cela a mal fini... la fin (attention spoiler) n'est pas cohérente du tout, Dexter passe 8 saisons à se sortir de tous les pièges et de toutes les impasses pour se suicider alors que rien de concret et justifié ne l'y pousse ? Et finalement ce n'est qu'une mise en scène pour partir vivre seul en ermite ? Bullshit. Soit il a des sentiments soit il n'en a pas, mais à un moment il faudra choisir messieurs les scénaristes. Saison très faible et fin nullissime, quel gâchis de finir ainsi ce qui a été à son début un bijou d'originalité...

 

 

 

lilyhammer

Lilyhammer : un mafieux témoigne contre son camp en échange d'un programme de protection des témoins un peu spécial : il choisit de vivre à Lillehammer en Norvège parce qu'il avait trouvé ça joli en regardant les JO d'hiver. Bien sûr sur place il n'en fera qu'à sa tête et va avoir un peu de mal à se familiariser avec les coutumes locales. Le pitch de départ est original, le traitement de la série un peu bizarre avec souvent un arrière-goût de télévision artisanale qui n'est pas mauvais en soi mais qui surprend. La grosse attraction de cette mini-série de 8 épisodes reste Steven Van Zandt, le guitariste-star du E-Street Band de Springsteen en rôle principal et co-scénariste !! Il n'est pas crédible une seconde pour tout ce qui est scène de castagne ou de séduction, mais sa perpétuelle moue de mafieux surjoué et son air d'énervé permanent font sourire. Quelques seconds rôles à noter dont un parfait sosie de Steve Buscemi jeune ! Série gentillette mais à voir plus par curiosité qu'autre chose.

 

 

 

 

rogue-saison1

Rogue saison 1 : présentée comme le pendant féminin de Banshee, Rogue ne joue pas totalement dans le même registre de l'action débridée mais à plus tendance à verser dans le drame. Ça n'empêche pas l'action pour autant, mais la thématique principale reste le drame vécu par une femme flic infiltrée dont le gamin de 7 ans a été tué. Thandie Newton (que j'ai toujours trouvée magnifique) tient ici un rôle très physique, que ce soit dans les dénudées ou celles de baston où elle morfle pas mal. L'ensemble de la série est plutôt noire, il n'y a guère qu'un personnage (Wilson) qui fasse sourire un peu grâce à sa dégaine improbable qu'il a importée directement de son précédent rôle dans la série Dirt. Quelques incohérences et une tendance à un peu trop souvent verser dans le mélodramatique font que la série reste moyenne mais n'est pas parvenue à me passionner (ça + la difficulté de s'identifier à un personnage aussi d'ailleurs). Reste que ça se regarde bien quand même et que je verrai la seconde saison ne serait-ce que pour la sublime Thandie !

 

 

 

 

Gravity

Gravity : rarement vu un film plus anxiogène que ça ! Entre le sentiment de claustrophobie et celui d'être perdu et seul dans l'immensité on n'est pas à l'aise une seconde. Et puis bien entendu il y a cette affreuse sensation de se dire qu'on est bien peu de chose et qu'on n'a pas grande prise sur ce qui se passe... Le scénario est très simple mais ce qui compte ce n'est pas la complexité des faits mais bien l'intensité des émotions ressenties. Moi qui ne suis pas fan (du tout) de Sandra Bullock je l'ai pourtant trouvée parfaite dans son rôle. Et puis il y a le toujours excellent George What Else Clooney. Autre chose qui m'arrive rarement : j'ai adoré la 3D ! Enfin un film où elle rend parfaitement bien mais où surtout elle est totalement et pleinement justifiée. Une vraie grande expérience de spectateur que ce film.

 

 

 

 

 

weeds-saison7

Weeds saison 7 : ça fait quelques saisons que weeds est un peu en roue libre, avec parfois des bons moments et parfois une vieux goût de réchauffé. Et bien cette saison est dans la même veine, avec une Nancy qui se dévergonde de plus en plus et un Andy moins présent et surtout moins percutant que d'ordinaire. Seul oug reste égal à lui-même, quant aux enfants de Nancy ils sont de moins en moins intéressants au fur et à mesure qu'ils grandissent (c'est frappant pour Shane). On continue à regarder presque plus par habitude et nostalgie des premières saisons qu'autre chose. Le format court, quelques scènes drôles et une couche de Nancy bien sexy pour enrober le tout c'est bien, mais ça fait de plus en plus cheap. Faudrait penser à conclure ?

 

 

 

 

 

 

the-iceman

The Iceman : basé sur une histoire vraie, ce film retrace la vie d'un tueur à gage qui a sévit pendant de longues années aux États-Unis avant d'être arrêté. L'homme, un professionnel d'une froideur extrême avait été surnommé The Iceman, alors que dans le civil il avait une famille avec femme et enfants qui ne se sont jamais doutés de rien avant la dégringolade et l'arrestation. Le casting est absolument fabuleux, Michael Shannon s'impose comme un acteur de premier plan dans le rôle titre. Si vous voulez voir de quoi il est capable, c'est ce genre de film qu'il vous faut voir, ou Take Shelter par exemple, en revanche vous pouvez faire l'impasse sur Man of Steel, à moins que vous aimiez les caricatures; ce qu'il sait visiblement faire aussi. Très bon petit film.

 

 

 

 

 

9-mois-ferme

9 mois ferme : le nouveau film de Dupontel est une vraie réussite, très drôle, caustique, tutoyant parfois le burlesque, blindé de clin d'oeil et de petits rôles savoureux (vous y croiserez quelques Monty Python qui déclarent leur flamme au globophage, un ancien Deschiens en légiste blagueur, un Dujardin en interprète pour sourds et malentendants...). Dupontel y est parfait et on surprend parfois quelques intonations à la Bernie qui ne sont pas pour me déplaire. Kiberlain est elle aussi excellente, tout comme l'habitué Nicolas Marié qui compose un avocat bègue complètement ahurissant. Comédie courte mais extrêmement efficace, on retrouve un ton qui rappelle certains sketches du one-man-show qui avaient lancé Dupontel sur le devant de la scène... bon sang ça fait plus de 20 ans déjà...

 

 

 

 

 

the-end

The End : dans le genre qui promet beaucoup mais qui finit sans rien tenir du tout, on tient le pompon avec ce film ! Acteurs pourtant plutôt bien trouvés et crédibles, le scénario commence correctement puis part en vrille dès la seconde moitié du film, et plus ça avance plus on se dit que ça va finir en truc bien puant, ce qui arrive bel et bien pour la plus grande frustration du spectateur qu'on a pris pour un zozo. Le coup des personnages qui disparaissent (au sens propre) sans la moindre explication autre qu'une vague métaphore poético-moralo-horrifique alors que tout le film part sur des bases plutôt réalistes, moi ça me fout en boule. Si les mecs ne savent pas comment finir leur film, un conseil qui vaut ce qu'il vaut : dans ce cas mieux vaut ne pas le commencer du tout.

 

 

 

 

 

 

scandal-saison2

Scandal saison 2 : cette série fait le yo-yo entre intrigue bien ficelée et parfois mièvrerie légèrement énervante. Les personnages sont un peu mieux maîtrisés que dans la première saison, mieux posés et plus attachants. L'intrigue principale d'histoire d'amour avec le président passe de rebondissement en retournement de situation, dans le genre "je t'aime moi non plus" ces deux là se posent en maîtres incontestés, d'où le côté un peu irritant du scénario. Pour le reste c'est pas mal, même s'il y a des énormités par moment et quelques ficelles un peu grosses qu'on voit venir de loin. Le suspens l'emporte sur le côté fleur bleue, il y a une petite pointe de cynisme typiquement politicien qui n'est pas pour me déplaire (sans toutefois atteindre le niveau d'House of Cards), je valide donc cette seconde saison avec une mention assez bien, on verra où mènera la troisième saison...

 

 

 

 

 

blue jasmine

Blue Jasmine : pas mal de critiques parlent du meilleur Woody Allen depuis longtemps, je serai un peu plus mitigé. Réussi il l'est, toute sa force résidant dans la description de personnages forts et dans l'interprétation des comédiens, Cate Blanchett en tête. Ce qui m'a un peu moins enthousiasmé c'est le message sous-jacent, ou plutôt les idées véhiculées par le films et son héroïne principale. Une vision de la femme pas très flatteuse à mon sens. Pas forcément irréaliste ceci dit, mais pas flatteuse. En gros, l'histoire m'a un peu déçu mais les comédiens sont franchement excellents. Quant à l'humour il est bien présent, mais dans un style très pince-sans-rire et plutôt grinçant. Pour ce qui me concerne ce n'est pas le Woody Allen que je conseillerais en premier lieu même si il possède d'indéniables qualités.

 

 

 

 

 

 

prisoners

Prisoners : un film dur et au rythme lent, qui permet de bien s'imprégner de l'âpreté de l'histoire et des personnages. Le casting est 5 étoiles, mais pour autant pas un seul personnage glamour ou à son avantage dans ce film, que ce soit physiquement ou moralement. Depuis Jake Gyllenhaal boudiné dans sa chemise boutonnée jusqu'en haut jusqu'à Hugh Jackman plus proche du bûcheron redneck que du playboy d'Hollywood, en passant par Paul Dano complètement défiguré et crasseux. Le film prend son temps et pose bien l'ambiance, lourde pour ne pas dire suffocante. Il pose aussi des questions fortes qu'on n'a aucune envie de se poser : jusqu'où dans l'horreur peuvent aller des parents pour sauver leurs gosses ? La scène du marteau est à ce sujet complètement glaçante et vraiment impressionnante : le trio d'acteurs Jackman / Dano / Howard jouant à mes yeux à la perfection. Pas un film très agréable à regarder car sans concession, mais très réussi dans son genre.

 

 

 

 

chroniques-de-tchernobyl

Chroniques de Tchernobyl : 6 jeunes américains en mal de sensations fortes vont faire du "tourisme de l'extrême" dans la ville fantôme voisine du site de Tchernobyl. Évidemment les choses ne vont pas bien se passer et ils vont faire des rencontres pas prévues au programme du tour operator. En gros ça promet pas mal mais ça ne tient pas grand chose comme film. D'ailleurs il est précisé que c'est dans la veine de Paranormal Activity, autrement dit filmé façon caméscope, on s'attend à voir des choses mais niet, ou alors on les aperçoit mais jamais clairement. Un peu à l'image de la blondasse du film qui se promène pendant tout le film avec un décolleté absolument vertigineux mais dont on ne verra pas le moindre téton. Bref, des promesses, des promesses...

 

 

 

 

 

the-town

The Town : ça faisait bien longtemps que je voulais le voir celui-ci, et je n'ai pas été déçu. Le point fort : l'ambiance et l'interprétation, les décors et le scénario pas hyper-compliqué mais bien ficelé. Jeremy Renner joue un rôle qui lui colle parfaitement à la peau (j'ai toujours trouvé que lui filer des rôles de héros était en décalage avec son physique, il a quand même une sacrée tête à claques le garçon !), et voir John Hamm dans un rôle plus contemporain que dans Madmen est intéressant. Bon il ne faut pas non plus crier au génie, on n'est pas enface d'un chef d'oeuvre absolu, mais c'est du solide aucun doute là-dessus.

 

 

 

 

 

 

 

 

planes

Planes : le nouveau film Pixar se situe dans le monde de Cars mais va voir du côté des avions comme son nom l'indique. J'ai été un peu déçu par rapport avec les deux films Cars, beaucoup moins sophistiqué, beaucoup plus premier degré et clairement dirigé vers les enfants et uniquement eux. Un scénario très linéaire et pour le moins prévisible, des personnages un peu survolés et plus caricaturaux qu'iconiques. Quelle idée d'aileurs de nommer l'avion mexicain Chupacabra, qui est le nom d'un monstre sanguinaire des mythes mexicains... m'enfin bon c'est un détail. Même côté animation je n'ai pas retrouvé la maestria qui transpire des images de Cars, de là à penser que chez Disney-Pixar on s'applique moins quand c'est réservé aux mômes il n'y a qu'un pas que je ne ferai pas, mais il y a de quoi s'interroger... Bref, film très moyen mais qui plaît aux gamins, c'est bien là l'essentiel vous me direz.

 

 

 

 

le-dernier-des-templiers

Le dernier des Templiers : Aaahh Nicolas Cage et ses nanars à la chaîne, toujours un plaisir capillaire que de le voir. Cette fois on cause de templiers de retour des croisades, de sorcière toute mimi qui n'en est peut-être pas une, de peste noire qui ravage tout sur son passage... ça reste dans le classique pour le genre. Un casting de gueules intéressantes (l'inoxydable Ron Perlman en tête, mais aussi un des méchants de Banshee), des moyens pas dégueus pour rendre l'époque de manière crédible, des dialogues assez plats et un jeu pas très convaincant de la part de Cage, voici les ingrédients principaux de ce film assez plan-plan qui vous en touche une sans faire bouger l'autre. À voir si vous n'avez rien d'autre à faire...

 

 

 

 

 

 

 

breaking-bad-s5-p2

Breaking Bad saison 5 seconde partie : les huit derniers épisodes de cette série-phénomène ont tenu très largement leurs promesses. La première partie de saison était déjà énorme, la seconde est juste monumentale. La rigueur scénaristique est époustouflante, les interprètes toujours au top et pas une seconde la tension ne baisse au cours de ces épisodes, jusqu'à un final d'une justesse et d'une logique implacables. La série termine et on a droit à une vraie fin digne de ce nom, comme rarement on en croise dans des séries télé au long cours. Pour moi cette conclusion vient quasiment au niveau des fins de The Shield et de Six Feet Under, et dans ma bouche on ne peut pas faire plus grand compliment pour une série ! Waletr White, Jesse Pinkman et tous les personnages de Breaking Bad tirent leur révérence, et de bien belle manière. Breaking Bad restera une série-référence de ces 10 dernières années. Allez ne chipotons pas : c'est LA série phare de ces 10 dernières années.

 

 

 

 

 

 

house-of-cards

House of Cards saison 1 : série originale (remake de la série britannique du même nom) qui plonge dans les arcanes du pouvoirs entre chambre des députés et maison blanche à Washington. Kevin Spacey y est excellent, tout comme Robin Wright. Régulièrement le personnage principal brise le quatrième mur pour confier au spectateur ses arrières-pensées et le prendre à témoin. Sexe, argent, politique, affaires : tout cela n'a qu'un but et un seul : détenir le pouvoir, coûte que coûte. Intelligent et intéressant, bien que la fin de saison ne soit pas des plus accrocheuses (on a connu des cliffhangers plus haletants !) côté suspense. La qualité est là, les points forts sont très clairement le scénario et l'interprétation grâce à un casting très réussi.

 

 

 

 

 

 

Californication-saison5

Californication saison 5 : c'est toujours un énorme plaisir pour moi de retrouver une nouvelle saison des aventures de Hank Moody. Cette cinquième saison est selon moi meilleure que la précédente, même si elle n'a pas forcément tout le mordant des premières saisons. À ma grande satisfaction Karen est de retour dans un rôle central et elle reste... divine ! Le fiancé de Becka est juste imbuvable, Charlie reste Charlie, il y a toujours de jolies pépées pas farouches et promptes à se déshabiller... Californication est un peu mon péché mignon et pourrait continuer encore très longtemps que je ne m'en lasserai pas. Faut dire, 10 épisodes de 26 minutes par an, ça reste homéopathique comme dose. Vive Hank ! Vive Californication !

 

 

 

 

 

 

 

dredd

Dredd : au placard la version Stallone des années 90, ici pas de side-kick comique, le juge garde son casque tout du long et l'ambiance générale est plutôt sinistre et peu optimiste quant à l'avenir de l'humanité. Ça charcle pas mal, ça flingue à tout va, ce n'est pas spécialement politiquement correct et le réalisateur s'est fait plaisir quand il s'agit de mettre en images les effets de la drogue du futur que dealent MaMa et sa clique. MaMa qui d'ailleurs est un personnage intéressant et qui sort des sempiternels méchants tels qu'on a l'habitude de les voir. Bref, un bon petit film d'action et d'anticipation et une adaptation de BD plutôt réussie même si elle n'a pas rencontré un gros succès. Un film simple mais indiscutablement réussi que je recommande aux amateurs du genre.

 

 

 

 

 

 

 

Mi-Temps-Au-Mitard

Mi-temps au mitard : remake d'un film des années 70, on a ici un mélange de comédie et de film d'action, de sport et de prison. Bref, un beau bordel, mais qui n'est pas déplaisant à l'arrivée. Je trouve que Adam Sandler en rôle principal est un peu osé pour tout ce qui n'est pas comédie, pour le reste du casting c'est du sans faute et l'un des principaux intérêts de ce petit film puisqu'on a l'occasion de voir une belle brochette de malabars qui ne se prennent pas au sérieux. C'est vraiment un film pop-corn qui ne cherche pas autre chose que de divertir, ce qui dans mon cas a été mission accomplie. Scénar un peu bateau et casting aux petits oignons (dans le genre hein, faut quand même recadrer), sur ce coup-là c'est suffisant pour moi, je prends.

 

 

 

 

 

 

Homeland-s2

Homeland saison 2 : un peu sur la lancée de la déception de fin de saison 1, la saison 2 vivote de retournements de situation en péripéties inattendues. Mais qui à force de s'ajouter les unes aux autres, deviennent paradoxalement attendus ! Pas convaincu sur le fond, l'histoire reste intéressante à suivre, on a forcément envie de savoir ce qui va se passer surtout qu'à un moment donné il y a un grand coup d'accélérateur dans l'intrigue. La toute fin vire au happy end à l'eau de rose, remis en question cependant par le cliffhanger final. Malheureusement ce dernier rebondissement de la saison 2 m'a laissé comme une impression désagréable : la saison 3 va devoir prendre garde à ne pas partir dans des dérives à la façon Prison Break...

 

 

 

 

 

 

Enemy-mine

Enemy Mine : J'ai enfin vu un film de SF que je voulais voir étant gamin, mais je me souviens que ce n'était pas du goût des parents à l'époque (un monstre alien sur l'affiche, oh my god !!). Presque trente ans plus tard je l'ai regardé. Bon, côté effets spéciaux et maquillages ça a un peu vieilli mais l'essentiel n'est pas là. Plus un film sur la tolérance et la paix entre les peuples qu'un film de SF pur et dur, cet Enemy Mine s'est révélé très intéressant ! Honnêtement je ne sais pas ce que j'en aurais pensé si je l'avais vu enfant, ce n'aurait certainement pas été conforme à ce à quoi je m'attendais alors. Bref un film à l'ancienne mais qui était à la pointe à l'époque de sa sortie. À voir pour les amateurs de films des années 80 et des films de SF qui osent parfois ce qui ne passerait jamais de la vie de nos jours (l'alien du film est enceinte alors que c'est un mâle...).

 

 

 

 

 

 

les-gamins

Les Gamins : Très chouette comédie française ! Chabat en quinqua qui fait sa crise d'ado et Boublil en jeune adulte qui veut vivre son rêve de musique forment un duo vraiment complémentaire et très drôle. Clairement les femmes sont au second plan, même si Sandrine Kiberlain a un rôle amusant également. Mais celui qui tire le film vers le haut c'est indéniablement Chabat dont le personnage fond littéralement un câble en se lâchant au-delà de toute mesure, c'est jouissif à voir, vraiment marrant, un peu régressif mais tellement bon !

 

 

 

 

 

 

 

 

The-Office-Saison8

The Office saison 8 : Première saison sans la présence de Steve Carell, montée en puissance de Andy et toujours présence hillarante de Dwight. Malgré tout ce qui a pu être dit sur le départ de Carell, à l'arrivée je n'ai pas ressenti de si grand manque que cela, je me marre toujours avec cette bande d'hurluberlus et cette huitième saison regorge de bonnes idées. Et puis il y a Robert California, alias James Spader (l'un de mes acteurs fétiches), qui cachetonne pour mon plus grand plaisir. Bien que la saison 8 est réputée comme celle qui a fait chuté l'audience de la série, moi je me suis beaucoup amusé en la regardant !

 

 

 

 

 

 

kick-ass-2

Kick-Ass 2 : L'effet de surprise du premier est passé, et ce second volet court après sans parvenir à le retrouver. Pourtant on ne s'ennuie pas, on donne même plutôt dans la surenchère pour palier au déjà-vu, c'est juste que ça a beau être encore plus fort encore plus loin, ça a moins d'impact malgré tout. la petite Hit-Girl a bien grandi, et on ne parle même pas de Kick-Ass ! du coup ils sont moins crédibles dans le rôle de teenagers et surtout le décalage entre la violence montrée et l'âge des protagonistes qui faisait l'atout du premier n'est plus vraiment là. Le film reste sympathique et assez fidèle au comic, mais à mon avis il vaudrait mieux qu'ils en restent là, un troisième film serait certainement de trop.

 

 

 

 

 

 

breaking-bad-s5

Breaking Bad saison 5 première partie : Attention la fin approche, elle arrive vite et fort, et on sent à chaque épisode qui passe que ça va faire très mal !! Comme pour l'avant-dernière saison de Dexter, on ne peut pas s'ôter de l'idée que d'une manière ou d'une autre ça va très mal finir. Walter bascule de plus en plus du côté obscur, Jessie se débat pour s'en sortir mais s'enlise. Mike a beau être ultra-pro et pagmatique, il va à l'encontre de gros problèmes, Skyler fond un câble et Hank est tout sauf un mauvais flic... de l'or en barre cette série, de la dynamite cette saison !

 

 

 

 

 

 

 

 

elysium

Elysium : La bande annonce laissait supposer LE film de SF de l'année, finalement le scénario sera un peu limite pour briguer ce titre-là. En revanche visuellement ce film est absolument magnifique, le rendu, aussi bien sur Terre que sur Elysium est vraiment parfait et immersif. Les comédiens en font parfois un chouïa trop, Matt Damon peine parfois à assurer à 100% en tant que star de film d'action, et le scénario a sa part de failles, vu l'ampleur du projet on l'aurait voulu parfait mais ça n'est pas le cas. Cela dit ça reste malgré tout un film très intéressant, mais pas un "grand" film tout simplement.

 

 

 

 

 

 

 

Russian-Mafia

Russian Mafia (Sweet Karma) : Toute petite série B, limite Z. Ça parle de filles russes obligées par la mafia à danser dans un club de strip-tease d'Amérique du Nord et de la vengeance d'une bombasse muette de naissance dont la soeur a été entraînée dans ce réseau d'esclavagisme moderne. Image de qualité médiocre, scénario light et déjà vu 1000 fois, quelques scènes de nichons (la plupart en plastique), interprétation basique. Shera Bechard (elle ausi tunée mais jolie quand même) tente de composer un personnage un peu atypique en la personne de Karma, douce, jolie comme un coeur, à l'air fragile mais qui dézingue du mafieux sans hésiter. Mouais, ça se regarde d'un oeil quoi.

 

 

 

 

 

 

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Wolverine : le combat de l'immortel : Oulala, mais quelle déception ! alors qu'on nous avait promis le film ultime sur Wolverine suite aux reproches de pas mal de fans sur le précédent, et bien c'est loin d'être réussi ! Niveau scénar c'est plutôt faiblard, niveau action on a du mal à se sentir concerné. C'est cousu de fil blanc, facilités à la pelle, quelques incohérences, aucune surprise, pas d'enjeu dramatique digne de ce nom. Seul point positif, Hugh Jackman, né pour ce rôle, extrêmement physique et au top de sa forme, dommage qu'on lui fasse jouer des histoires aussi fades. Et puis pour mettre un robot géant à la fin, les scénaristes ont dû se croire dans Iron-Man 4. Non vraiment, déçu, déçu le Stéph...

 

 

 

 

 

 

insaisissables

Insaisissables : Du grand spectacle, un gros casting, de bonnes idées de tours de magie, et un Louis Leterrier qui s'en sort bien quand il décide d'arrêter de faire tourner sa caméra autour de ses personnages (il n'y a que Lelouch qui sache faire ça sans vous filer la gerbe). Mention spéciale au cabotin Woody Harrelson, Ruffalo et Freeman le tâlonnant de prêt dans la surenchère des rôles. Évidemment ce n'est pas le film de l'année, mais c'est loin d'être le ratage tout pourri annoncé par tant de détracteurs. Moi j'ai passé deux bonnes heures devant ce film que j'ai trouvé parfait dans le genre "divertissant et bien foutu". J'en demandais pas plus, je n'en ai pas eu plus, bref ça me va comme ça, Insaisissables a rempli son contrat à mes yeux.

 

 

 

 

 

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Dallas 2012 saison 1 : Eh oui comment passer à côté de ça pour moi qui fut marqué dans ma plus tendre enfance par la famille Ewing des années 80 ?! Le retour de JR, de Sue Ellen, de Bobby ! Et même ce bon vieux Ray (qui a morflé), Lucy (qui a morflé grave) et cette vieille fouine de Cliff Barnes ! Ils ont même gardé le génréique dis donc ! Bon à côté des grabataires il y a quelques jeunots bellâtres qui jouent du pectoral et de la mâchoire carrée et qui font un peu mièvre quand on se souvient de la version précédente de la série. L'histoire est pas bien terrible, peu de personnages s'en sortent honorablement si ce n'est ce vieux bouc de JR qui sort quelques répliques sympatoches tout en brinquebalant sa vieille carcasse tremblotante. Bobby est assez pitoyable (en même temps Duffy n'a jamais su jouer correctement hein), Sue Ellen a forcé sur la chirurgie. Et puis des deux donzelles qui viennent apporter un peu de chair fraîche et d'enjeux sentimento-sexuels aux blaireaux qui se les disputent, j'ai un peu carrément craqué sur Rebecca (Julie Gonzalo), c'est déjà ça. Voilà, séquence nostalgie...

 

 

game-of-thrones-s3

Game of Thrones saison 3 : une saison qui démarre lentement mais qui monte en puissance au cours des épisodes jusqu'à un avant-dernier épisode choc (le neuvième) qui recèle son pesant de cacahouètes de gros changements, ausi bien dans l'histoire à venir que dans le casting !! Ça charcle sévère tout d'un coup alors qu'on ne s'y attendait pas (sauf pour les lecteurs des romans of course), c'est cruel et sans pitié et ça ne fait pas dans le détail. Autant le début peine à passionner, autant la fin est traumatisante ! Game of Thrones continue à tenir ses promesses, et c'es tant mieux !!

 

 

 

 

 

 

 

 

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WorkinGirls saison 2 : la petite sitcom française à sketches continue d'explorer le monde du travail d'un point de vue féminin et totalement déjanté. Quelques gags hillarants, d'autres beaucoup moins percutants, un tout petit sentiment de répétition à force également (pourtant les épisodes sont d'un format très court d'une douzaine de minutes). On aurait aimé que ce soit toujours excellent, ça ne l'est que par intermittence, c'est un peu dommage.

 

 

 

 

 

 

vicky cristina barcelona

Vicky Cristina Barcelona : Woody Allen en pleine période européenne. Coémdie de moeurs romantique et libérée, l'auteur se fait plaisir avec une narration en voix off, une brochette de comédiens de talents (exceptionnel Javier Bardem encore une fois, en bogosse-style)(mais les femmes ne sont pas en reste !!) et un thème bateau mais très bien revisité : le triangle amoureux (voire même beaucoup plus qu'un triangle à un moment !). Visiblement selon Allen, en Espagne on est très ouvert d'esprit quand il s'agit d'amour et de sexe ! Ouais, encore faut-il avoir la gueule et le charisme magnétique de Javier Bardem hein...

 

 

 

 

 

 

 

 

  crazy-joeCrazy Joe : encore un petit film d'action made in Jason Statham qui pète pas plus haut que son postérieur mais qui se laisse bien voir. C'est pourtant à la base bourré de clichés pas toujours du meilleur goût (le gros dur qui se tape la nonne !!) mais contre toute attente ça marche. Statham a du charisme, l'histoire est simple et on ne s'ennuie pas. Bref, une série B comme on aimerait en voir plus souvent, et la preuve de plus que Statham sait faire aussi autre chose que des nanars de luxe.

 

 

 

 

 

 

world-war-z

World War Z : voilà un film qui promettait beaucoup et qui tient ses promesses ! action, suspense et tension tout du long de ce film de zombie traité intelligemment sans non plus décevoir côté action. J'ai en particulier été scotché par toutes les scènes montrant des invasions géantes de zombies (l'attaque de Jérusalem est extraordinaire). Un excellent film d'été à ne pas rater.

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