Que le temps passe vite.
Cela fait un an pile que Nono et moi nous envolions pour la première étape de notre tour du monde !
Quiconque nous aura suivi sur notre blog dédié sait déjà que l’aventure fut exceptionnelle et les paysages visités magnifiques.
Je n’y reviendrai donc pas en détail, mais je tenais cependant tout de même à marquer le coup en y consacrant ces quelques mots.
Je ne veux pas parler au nom d’Arnaud, bien que je pense pouvoir avancer sans trop me tromper que pour lui aussi, notre escapade à travers le monde fut une belle expérience.
Inutile donc de trop m’appesantir sur tout ce que nous avons pu voir durant ce voyage, ça a déjà été mis en ligne au jour le jour sur le blog et retranscrit plus tard sous la forme d’un livre que je me suis amusé à mettre en page après notre retour.
Au large des Twelve Apostles...
Mais ce que je tenais à dire ici, s’adresse pour une part à Arnaud, et d’autre part à Marie, Nathan et Tom.
C’est tout simple et ça peut se résumer en un seul mot : merci !
Merci à Nono pour m’avoir entraîné dans son sillage, pour m’avoir rassuré quand je flippais à mort que le projet foire pour une raison ou une autre (qu’elles soient rationnelles ou irrationnelles), pour sa positive attitude de chaque instant, pour ses qualités d’organisation, de bonne humeur, de volonté, d’humour. Pour m’avoir laissé m’amuser à faire parfois un peu n’importe quoi avec notre blog. Pour être d’un naturel aussi simple et facile à vivre au quotidien (parce que pour partir pendant 48 jours 24h/24 avec quelqu’un, faut vraiment bien s’entendre !). Pour toutes ses bonnes idées, ses solutions, sa réactivité, son enthousiasme. Pour avoir aussi accepté d’injecter ma part de suggestions (ne serait-ce qu’en ce qui concerne les différentes étapes du voyage) dans son rêve de départ à lui. Pour m’avoir expliqué les règles du base-ball quand on est allé voir les Dodgers. Pour m’avoir expliqué les règles de base de la conduite avec boîte automatique. Pour m’avoir fait goûter du crabe à Santa Barbara (si si, même pour ça !). Pour tout ça, pour son amitié, et pour bien d’autres choses encore. Merci.
Et un merci très spécial à ma fée et mes deux loulous. Merci d’avoir accepté de me laisser partir aussi longtemps et aussi loin. Merci d’avoir compris mon envie et les raisons qui m’ont poussé à me lancer dans ce projet. Merci d’avoir fait tous ces efforts d’organisation pour me permettre de m’absenter pendant 48 jours tout en continuant d’assurer la vie quotidienne sans moi. Merci d’avoir partagé avec autant d’enthousiasme mon bonheur et mes souvenirs, de vous être autant intéressés à ce voyage. Merci de m’aimer assez pour ça.
Et enfin, merci à vous quatre, de m’avoir permis de réaliser ce rêve.
Au bord du Grand Canyon...