Ahhhh… déjà la note 69…
J’en vois déjà certains qui s’attendent à ce que je parle d’un sujet un peu scabreux, du genre bête à deux dos et autres déclinaisons libidineuses… eh bien non !
Je tiens aussi à préciser tout de suite, que malgré ce que le titre pourrait laisser penser, il ne s’agit pas non plus d’une analyse du film de Steven Spielberg avec Leonardo DiCaprio.
Non, cette note traite d’un sujet … disons intermédiaire, histoire de contenter à la fois les obsédés de Kamâ-Sutra, et nos amies féministes convaincues.
Je voulais vous parler d’une ancienne tradition du Burundi, que j’ai trouvée très intéressante et qui s’applique encore en certaines parties du pays. Comme dans certaines contrées, au Burundi les mariages sont parfois arrangés et préparés par les familles, sans trop laisser de choix à la future mariée.
Mais en guise de « compensation » à cette injustice, il y a une coutume malicieuse : la nuit de noce, les deux époux nus sont enduits de graisse animale très glissante sur tout le corps. La femme porte juste une fine cordelette autour de la taille. Puis ils passent la nuit dans la case vide à « jouer au chat et à la souris » jusqu’au lendemain. Si au petit matin, l’homme n’a pas réussi à attraper la femme et à consommer le mariage, celle-ci a le droit de répudier son mari sur le champ !
On ne plaisante pas avec le droit des femmes au Burundi !!